Archives mensuelles : octobre 2014

Projections de Retour au Cambodge, et La Fièvre de l’Or au cinéma de l’Eden

Olivier Wber, réalisateur de Retour au Cambodge; et La Fièvre de l'Or

Projections de Retour au Cambodge, et La Fièvre de l’Or au cinéma de l’Eden le 14 novembre 2014

Films – On projette RETOUR AU CAMBODGE à l’Eden, le fameux cinéma des frères Lumière à La Ciotat, près de Marseille. C’est aussi le plus vieux cinéma au monde.
Le vendredi 14 novembre à 14 h 30

Retour au Cambodge
un film documentaire d’Olivier Weber et Bernard Crouzet,
écrit par Olivier Weber et Malay Phcar
2005 52′ – avec la participation de France 5, Voyage, France 2 et le soutien du CNC
Après vingt-cinq ans dabsence, Malay, un jeune Cambodgien qui a survécu enfant aux camps de la mort des Kmers rouges, revient dans son pays.
Il a décidé de suivre l’écrivain Olivier Weber, qui tourne un documentaire sur le Cambodge. Tous deux saventurent dans les maquis des héritiers de Pol Pot. Les Khmers rouges, dans leurs fiefs montagneux, demeurent impunis…

A 20h 30
La FIEVRE DE L’OR de Olivier Weber

Soirée spéciale Ecrivain-voyageur dans le plus vieux cinéma du monde, l’Eden des frères LumièreProjection du film La Fièvre de l’Or , Prix Terra Festival, Trophée de l’Aventure, Top Ten des meilleurs films sur l’environnement.

« Edifiant! » Studio
« Remarquable » Ciné Live
« Passionnant! » Le Figaro
« Un témoignage accablant » Le Nouvel Obs
« L’un des pires théâtres de la mondialisation » Figaroscope
« Un documentaire édifiant » Le Figaro Magazine«
«Le cycle infernal de l’or » Libération
« Un désastre humain et écologique » Challenges
« La soif de l’or dans une jungle sans lois » Le Monde
« Le mythe de la ruée vers l’or a du plomb dans l’aile » Le Point
« Le cycle du lingot avec son lot d’endettés, de prostituées, de trafiquants« Première
« Le film rappelle Blood Diamond et Le Cauchemar de Darwin » Zéro de conduite
Olivier Weber dédicacera plusieurs de ses ouvrages…

Contact :04 42 83 89 05 – 06 88 02 24 67

La FIEVRE DE L’OR

Synopsis et détails

L’Amazonie est au coeur d’une nouvelle ruée vers l’or. Pour cette course vers les pépites et les paillettes jaunes, les hommes et les femmes s’enchaînent. Et détruisent l’un des derniers paradis, le poumon de la planète, la plus vaste forêt tropicale du monde, où tout se paie désormais en or.
Un cycle du lingot s’est ainsi constitué, avec son lot d’endettés, de prostituées, de parrains, de trafiquants, que ce soit en Guyane française, au Brésil ou au Surinam. L’or a amené les maladies, le mercure, les crimes, l’alcoolisme, et a transformé les criques et les fleuves en poubelles.
Ce cycle est celui de la destruction de l’homme par l’homme. 300 tonnes d’or sortent chaque année de la forêt et 120 tonnes de mercure y entrent. Un échange inégal, trésors contre poison. Avec en toile de fond de cette catastrophe écologique le trafic d’êtres humains, d’armes et de drogues.
Au coeur de cette jungle sans frontières, le drame des Amérindiens Wayanas, côté Guyane française, pollués par le mercure nécessaire à l’or et voués à une disparition prochaine. Déjà, on constate des malformations chez les enfants, des séquelles neurologiques et des cancers chez les plus âgés. Avec le scandale du mercure, on assiste à un nouveau massacre des Indiens.
Au coeur des ténèbres, le nouvel Eldorado est ainsi devenu l’un des pires théâtres de la mondialisation.

 

Windsurf en Bretagne

Windsurf Sous le Soleil de Bretagne, réalisée par Malay Phcar/M7France

Windsurf Sous le Soleil de Bretagne, réalisée par Malay Phcar

Windsurf Sous le Soleil de Bretagne

Réalisée par Malay Phcar

Windsurf Bretagne, par M7FranceWindsurf Bretagne, par M7FranceWindsurf Bretagne, par M7FranceS1100125

Windsurf Bretagne, par M7France

Windsurf Bretagne, par M7France

Windsurf Bretagne, île vierge par M7France

Windsurf Bretagne, île vierge par M7France

Voyage – découverte : Une jeune Francilienne lauréate des Premiers Pas de l’Aventure 2014

 Voyage – découverte
Une jeune Francilienne lauréate des Premiers Pas de l’Aventure 2014

IMG 8695 CopierCamille Szklorz, 29 ans, a été récompensée ce week-end, lors de la 13ème édition du Grand Bivouac à Albertville,  pour son « Cyberconte à l’Africaine ». Ou comment on se raccroche à la Toile…avec des bouts de ficelle.

Et si les  « nouvelles technologies de l’information et de la communication », les si fameuses NTIC, étaient d’abord, dans une bonne partie du monde, une affaire de…bidouille ? A Dakar, on fabrique une imprimante 3D avec des matériaux de récupération de la grande décharge. En Mauritanie, c’est par le téléphone qu’on s’échange et commercialise les données, photos, vidéos. Et  en Guinée, c’est en construisant des centaines de petites cabanes publiques pourvues d’un groupe électrogène qu’on permet à la population de recharger son mobile : en parcourant l’Afrique du Maroc à la Côte d’Ivoire pour comprendre comment on se débrouille avec la modernité…quand on n’y est pas vraiment convié,  Camille Szklorz a sans doute réalisé l’un des voyages de découverte les plus étonnants de ces dernières années.  Présenté le week-end dernier et pour la première fois au public lors de la 13ème édition du Grand Bivouac d’Albertville (*), son récit, « Cyberconte à l’Africaine », – vidéo, diaporama, dessins et commentaires mêlés – a reçu à l’unanimité le Prix des Premiers Pas de l’Aventure décerné, à l’occasion du festival, par un jury présidé par la réalisatrice Véronique Lapied.

« J’ai toujours été fasciné par la capacité de tout un chacun de créer à partir de rien, de la débrouille, de pratiques alternatives » raconte la jeune diplômée des Beaux Arts de Valence. A 18 ans, elle part pour l’Ecosse, l’Italie, « avec presque rien en poche ». Puis, c’est l’Afrique qui l’attire. D’octobre 2012 à septembre 2013, elle la parcourt, du Maroc à la Côte d’Ivoire. Onze mois de périple à vélo, « parce que dans un monde où tout va très vite, c’est un mode de déplacement lent, qui permet de mieux comprendre les territoires et les gens ». Elle en tire le portrait d’une Afrique inventive et accueillante, loin des caricatures ou des peurs d’aujourd’hui. Sur les dangers supposés d’un tel périple, elle témoigne : « Au final, à part une paire de chaussettes volée au Maroc, pas de casse à déclarer. Le plus dur aura été indéniablement de traverser la France : la solitude pesante, les tentatives de vol en bivouac et des villages désertés, à l’inverse d’un Sahel désertique mais habité… ». Elle dit aussi : « l’Afrique a été pour moi l’illustration même du respect de l’autre, une belle leçon de vie ».

Dans les semaines à venir, de son camp de base de Bagnolet (Seine Saint-Denis), Camille va maintenant s’attacher à « finaliser » son récit, peut-être même à travers une version éditoriale. Puis elle repartira. Le 6 novembre prochain, elle aura tout juste 29 ans.

Dossier de presse : à visionner ici

Contact Presse :

Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Le Grand Bivouac progresse encore…

Le Grand Bivouac progresse encore…

photo-fin-GB2014-Dans un contexte géopolitique et une actualité peu favorables au désir de voyage et à la découverte du monde, le Grand Bivouac d’Albertville vient d’enregistrer, le week-end dernier, son record d’audience en treize éditions avec plus de 30.000 entrées.

31 500 entrées exactement en trois jours (*) : ne dites surtout pas aux organisateurs du Grand Bivouac, festival du voyage et des découvertes partagées – dont la 13ème édition se déroulait du 16 au 19 octobre à Albertville (Savoie) – que ce succès-record est dû à une envie encore plus pressante, pour nos concitoyens, de « s’évader, en oubliant la réalité »… ils le prendraient peut-être mal ! Pour Guy Chaumereuil, son président, « il s’agit bien au contraire de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, mais de manière plus apaisée, plus réfléchie, plus concrète aussi : quand, au travers des témoignages recueillis au festival – récits, films documentaires, livres, conférences, débats – des femmes et des hommes de tous horizons et de tous pays nous montrent à quel point ils se battent et restent debout dans un environnement souvent bien plus complexe et difficile que le nôtre, c’est avec de l’énergie et de la confiance renouvelées que notre public repart du festival. C’est, en tout cas, ce qu’il nous confie : ici, on relève la tête, on ne l’enfonce pas dans le sable… ».

De fait, plusieurs grands moment ont émaillé ces trois journées riches de plus de 110 rendez-vous au total, dont deux standing ovation de plusieurs minutes dans des salles pleines à craquer pour Marc de la Ménardière et Nathanaël Coste (« En quête de sens ») ou Armand Diangienda, chef de l’Orchestre Symphonique de Kinshasa (« Kinshasa Symphony »). Et si le Salon du voyage aventure et ses exposants ont dû faire face aux hésitations des clients devant une actualité particulièrement sombre – assassinats d’otages, pays déconseillés, accidents d’avion, épidémie, mais aussi avalanches meurtrières au Népal – le public a plébiscité la lecture, avec une excellente tenue du Salon du Livre. « Mais nous travaillons déjà à de nouveaux projets pour 2015, précisent aussitôt les organisateurs. Les agences françaises de voyage-découverte sont animées par de vrais professionnels, aguerris, parfaits connaisseurs de l’état du monde et grands voyageurs eux-mêmes. Nous avons confiance en eux et nous sommes à leurs côtés pour rassurer et fidéliser notre public et leur clientèle ».

La 14ème édition du Grand Bivouac aura lieu du 16 au 18 octobre 2015

(*) Le précédent record de fréquentation était de 30.000 entrées en 2011.

Dossier de presse : à visionner ici

Contact Presse :

Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Rouge gorge, un oiseau du jardin

Rouge gorge, est un oiseau du jardin; par Malay Phcar/M7France

Rouge gorge, est un oiseau du jardin; par Malay Phcar/M7France

Rouge gorge, est un oiseau du jardin; par Malay Phcar/M7France

Rouge gorge, est un oiseau du jardin; par Malay Phcar/M7France

Rouge gorge est un oiseau du jardin, photo de Malay PHCAR/M7FranceChant : Son chant est une série de gazouillis ténus, doux et clairs, et de courts trilles, avec des arrêts brusques. Pendant l’automne, son chant est plus doux.

Le Pouillot véloce

oiseaux du jardin, pouillot véloce

Pouillot véloce, brun verdâtre dessus et blanc cassé dessous, il possède un chant caractéristique à deux tons dont les francophones retiennent le rythme et le son métallique ressemblant à ceux de pièces de monnaie que l’on égrène, d’où le surnom de « compteur d’écus » wikipédia; photo de Malay PHCAR/M7France

Dix jeunes voyageurs sélectionnés pour la 2ème promotion de la « Villa Marco Polo »

Dix jeunes voyageurs sélectionnés pour la 2ème promotion de la « Villa Marco Polo »

jeune-carteLa promotion 2015 de la Villa Marco Polo, créée l’an passé par le Grand Bivouac, festival du voyage et des découvertes partagées, comprendra dix résidents dont la liste (*) est aujourd’hui publiée à l’approche de la 13ème édition du festival, du 16 au 20 octobre prochains.

Créé dans l’esprit et le prolongement du Grand Bivouac pour accompagner dans leurs projets les jeunes adultes de 18 à 30 ans qui souhaitent « voyager pour raconter le monde », la Villa Marco Polo, basée à Albertville, offre à ses résidents le parrainage individualisé d’un voyageur ou d’une voyageuse confirmé (e) – journaliste, écrivain, réalisateur, documentariste, scientifique, universitaire, artiste, globe-trotter… – un cycle d’ateliers-formation (approche de l’anthropologie et de l’ethnologie, modèle économique et conduite de projet, écriture et scénarisation, sensibilisation à la médiation, etc) ainsi que le suivi et la valorisation des œuvres réalisées : films documentaires, carnets de voyage, réalisations numériques…

Pour cette seconde promotion, le comité de pilotage de la Villa Marco Polo, composé des grands reporters Olivier Weber et Sylvie Brieu, Marianne Chaud, ethnologue et réalisatrice, Franck Michel, anthropologue et de six administrateurs du festival, a puisé dans une première sélection de 35 candidatures issues de toutes les régions de France, et proposant autant de projets de voyage aux quatre coins du monde : Afrique de l’Ouest, Etats-Unis, Québec, Inde, Asie centrale, Brésil, Indonésie notamment.

Par ailleurs, les résidents de la première promotion sélectionnés en 2014 – douze femmes et deux hommes –  sont, pour la plupart, en action à ce jour sur leur terrain de découverte et d’exploration et seront de nouveau conviés à Albertville en début d’année 2015 pour finaliser leur réalisation.

(*) La promotion 2015 est composée de : Pierre Boizette (Seine et Marne), Quentin Chevalier (Paris), Julie Chancerel (Mayenne), Aurélia Horner (Essonne), Pierre-Antoine Hussher (Seine Saint-Denis), Tahnee Juguin (Loire-Atlantique), Baptiste Mallet (Hérault), Nathan Weber (Hautes-Alpes), Hendrick Kersten (Yvelines) et Nicolas Nereau (Isère).

Tout le programme du Grand Bivouac  : www.grandbivouac.com

Dossier de presse du festival : à visionner ici

Contact Presse :

Fabrice COUTEAU, fabrice@grandbivouac.com, 06 29 33 93 44
Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15