Campagnes françaises, un tiers des oiseaux ont disparu.
Campagnes françaises, un tiers des oiseaux ont disparu.
Au départ c’est une histoire entre amis. Des amoureux de la montagne, des fous de sommets… et des malvoyants. L’idée est de partager des horizons nouveaux, d’amener des aveugles et malvoyants au lac Baïkal puis dans les montagnes de Sibérie, en conditions hivernales. Non pas tant un incroyable défi qu’une envie de voir autrement. « Je croyais avoir tout vu et je n’avais rien vu. Et il a fallu que ce soit des aveugles et des malvoyants qui me le fassent comprendre… ». Au-delà de la lumière ou comment des déficients visuels créent un paradis. Au passage, ils montrent à l’écrivain et réalisateur Olivier Weber « leur » univers, de perception, d’enthousiasme et de partage. Et là survient une incroyable alchimie. Ce ne sont pas les voyants qui accompagnent les autres mais le contraire : les aveugles et malvoyants font découvrir un autre monde, au-delà du noir, au-delà de la lumière, dans une formidable expérience de résilience. Un message d’espoir et d’optimisme valable pour tous, bien loin du handicap. Un feel good movie.
Ecrivain et grand reporter, Prix Albert Londres, Prix de l’Aventure, Prix des Romancières et Prix Joseph Kessel, Olivier Weber est notamment l’auteur du Faucon afghan (Robert Laffont), du Barbaresque et de L’Enchantement du monde (Flammarion). Longtemps reporter de guerre pour la presse française et britannique puis ambassadeur de France pendant cinq ans et désormais romancier, il a couvert une vingtaine de conflits, de l’Erythrée à l’Afghanistan, du Sahara à l’Irak. Ses romans et récits de voyage ont été traduits dans une dizaine de langues.
Société des Explorateurs Français – Société de Géographie; 184 Bd Saint-Germain, Paris 6e
Films – On projette RETOUR AU CAMBODGE à l’Eden, le fameux cinéma des frères Lumière à La Ciotat, près de Marseille. C’est aussi le plus vieux cinéma au monde.
Le vendredi 14 novembre à 14 h 30
Retour au Cambodge
un film documentaire d’Olivier Weber et Bernard Crouzet,
écrit par Olivier Weber et Malay Phcar
2005 52′ – avec la participation de France 5, Voyage, France 2 et le soutien du CNC
Après vingt-cinq ans dabsence, Malay, un jeune Cambodgien qui a survécu enfant aux camps de la mort des Kmers rouges, revient dans son pays.
Il a décidé de suivre l’écrivain Olivier Weber, qui tourne un documentaire sur le Cambodge. Tous deux saventurent dans les maquis des héritiers de Pol Pot. Les Khmers rouges, dans leurs fiefs montagneux, demeurent impunis…
A 20h 30
La FIEVRE DE L’OR de Olivier Weber
Soirée spéciale Ecrivain-voyageur dans le plus vieux cinéma du monde, l’Eden des frères LumièreProjection du film La Fièvre de l’Or , Prix Terra Festival, Trophée de l’Aventure, Top Ten des meilleurs films sur l’environnement.
« Edifiant! » Studio
« Remarquable » Ciné Live
« Passionnant! » Le Figaro
« Un témoignage accablant » Le Nouvel Obs
« L’un des pires théâtres de la mondialisation » Figaroscope
« Un documentaire édifiant » Le Figaro Magazine«
«Le cycle infernal de l’or » Libération
« Un désastre humain et écologique » Challenges
« La soif de l’or dans une jungle sans lois » Le Monde
« Le mythe de la ruée vers l’or a du plomb dans l’aile » Le Point
« Le cycle du lingot avec son lot d’endettés, de prostituées, de trafiquants« Première
« Le film rappelle Blood Diamond et Le Cauchemar de Darwin » Zéro de conduite
Olivier Weber dédicacera plusieurs de ses ouvrages…
Contact :04 42 83 89 05 – 06 88 02 24 67
La FIEVRE DE L’OR
Synopsis et détails
L’Amazonie est au coeur d’une nouvelle ruée vers l’or. Pour cette course vers les pépites et les paillettes jaunes, les hommes et les femmes s’enchaînent. Et détruisent l’un des derniers paradis, le poumon de la planète, la plus vaste forêt tropicale du monde, où tout se paie désormais en or.
Un cycle du lingot s’est ainsi constitué, avec son lot d’endettés, de prostituées, de parrains, de trafiquants, que ce soit en Guyane française, au Brésil ou au Surinam. L’or a amené les maladies, le mercure, les crimes, l’alcoolisme, et a transformé les criques et les fleuves en poubelles.
Ce cycle est celui de la destruction de l’homme par l’homme. 300 tonnes d’or sortent chaque année de la forêt et 120 tonnes de mercure y entrent. Un échange inégal, trésors contre poison. Avec en toile de fond de cette catastrophe écologique le trafic d’êtres humains, d’armes et de drogues.
Au coeur de cette jungle sans frontières, le drame des Amérindiens Wayanas, côté Guyane française, pollués par le mercure nécessaire à l’or et voués à une disparition prochaine. Déjà, on constate des malformations chez les enfants, des séquelles neurologiques et des cancers chez les plus âgés. Avec le scandale du mercure, on assiste à un nouveau massacre des Indiens.
Au coeur des ténèbres, le nouvel Eldorado est ainsi devenu l’un des pires théâtres de la mondialisation.
LE GRAND BIVOUAC – Du 17 au 19 octobre 2014 – ALBERTVILLE (SAVOIE)
Les Français pessimistes ?
Le Grand Bivouac les invite « à ouvrir les yeux et rester debout »
Les dernières observations de l’Insee sur la consommation des ménages enfoncent le clou. La France va mal. En réaction, les organisateurs du Grand Bivouac, festival du voyage et des découvertes partagées, invitent
« tous les Français qui ont le moral à zéro »… à les rejoindre pour leur 13ème édition du 16 au 20 octobre prochains à Albertville !
« C’est tout de même à peine croyable ! Nous ne renions évidemment rien des difficultés économiques et sociales auxquels nos compatriotes, nous-mêmes y compris, doivent faire face, ni de la tension extrême, voire des horreurs parfois dans lesquelles le monde se débat aujourd’hui. Mais ce moral au plus bas, non, nous ne le comprenons pas, nous ne l’admettons pas ! ». En invitant aujourd’hui « tous les Français qui ont le moral à zéro » à les rejoindre pour leur 13ème édition, les organisateurs du Grand Bivouac, se tromperaient-ils de tribune ? « Pas du tout ! s’étonne Guy Chaumereuil, l’un de ses fondateurs. A l’occasion de ce festival, nous donnons à voir, à travers les témoignages des grands voyageurs, des femmes et des hommes, semblables à nous, souvent dans des situations personnelles et collectives encore plus difficiles, qui restent debout et se battent, jour après jour, tout autour de la planète, pour vivre dignement et garder espoir : qu’ils soient musicien amateur de l’Orchestre Symphonique de Kinshasa, jeune femme des montagnes aux confins de l’Azerbaïdjan, étudiantes iraniennes, petit épicier éthiopien, nomades mongoles ou paysans nicaraguayens, toutes et tous nous montrent cette détermination à ne jamais renoncer… Et c’est l’âme même du festival : ouvrir les yeux sur le monde tel qu’il est, avec ses soubresauts, ses douleurs, mais aussi sa formidable énergie, basée sur la découverte, la rencontre et le respect de l’autre… ».
Voyager, un acte fort
Le festival – qui a créé l’an dernier une Villa Marco Polo pour les jeunes voyageurs et accueille, chaque année, dans son « Village », la plupart des grands tour-opérateurs du voyage-découverte – insiste, par ailleurs, sur la nécessité de garder à tout prix l’envie de voyager : « Personne ne niera les dangers qui peuvent guetter le voyageur aujourd’hui dans certaines régions du monde, surtout pas quelques jours à peine après la mort d’Hervé Gourdel. Et le maximum de précautions doivent être évidemment prises dans ce domaine. Mais si voyager, aujourd’hui plus encore qu’avant, doit s’affirmer comme un acte de résistance, d’ouverture et d’espoir, alors, acceptons-le comme tel. C’est ainsi, en tout cas, que nous le défendons ».
Le Grand Bivouac : 110 rendez-vous au total sur trois jours – conférences, projections, débats, animations, expositions – et de 25 à 30.000 entrées chaque année en octobre à Albertville (Savoie)
Tout le programme du Grand Bivouac : www.grandbivouac.com
Dossier de presse : à visionner ici
Contact Presse :
Fabrice COUTEAU, fabrice@grandbivouac.com, 06 29 33 93 44
Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15
FLASH INFO – LE GRAND BIVOUAC – Du 17 au 19 octobre 2014 – ALBERTVILLE (SAVOIE)
La parole, la confidence, le témoignage : plus que jamais, pour sa 13ème édition, du 17 au 19 octobre prochains, le Grand Bivouac consacrera une large place à l’échange et à l’émotion. Parmi les temps forts à prévoir, les rencontres avec les marcheurs au long cours – Lionel Daudet, Olivier Lemire, Gérard et Birgit Guerrier, Emeric Fisset, Antoine de Baecque – comme avec l’ethnologue et réalisateur Stéphane Breton ou encore Manon Loizeau, grand reporter. Mais l’émotion naîtra aussi, à coup sûr, de l’image. Et les organisateurs du festival attendent beaucoup de Kinshasa Symphony (avec des membres de l’orchestre en duplex de la République Démocratique du Congo), Une contrebasse en Méditerranée (en présence de son musicien-réalisateur Thierry Petit), Nous saluerons la lune (rencontre avec une jeune femme sourde dans les montagnes d’Azerbaïdjan) ou encore de Safar (le témoignage bouleversant de trois jeunes Iraniennes).
Le Grand Bivouac, 13ème édition, Albertville (Savoie) – Du 17 au 19 octobre 2014 – Concert d’ouverture le 16 octobre, à 20h.30, avec Susheela Raman
Tout le programme : www.grandbivouac.com
Dossier de presse : à visionner ici
Contact Presse :
Fabrice COUTEAU, fabrice@grandbivouac.com, 06 29 33 93 44
Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15
Université populaire du Voyage – 3ème conférence
Grands reporters, écrivains voyageurs :
une histoire d’aujourd’hui.
Conférence d’Olivier Weber
Comment raconter le monde…quand il ne cesse de bouger ? En un siècle, pêle-mêle, les deux guerres, la Révolution russe, la décolonisation, l’Espagne, l’Irlande, le Proche-Orient, la Guerre froide, le Vietnam, le terrorisme international aujourd’hui et bien d’autres terrains de confrontation encore : dans la lignée des grands noms du journalisme et de la littérature voyageuse – Joseph Kessel, Albert Londres, Jack London, Blaise Cendrars ou plus près de nous, Lucien Bodard – Olivier Weber, grand reporter, écrivain-voyageur et cinéaste (*), nous entraîne dans l’aventure du monde à travers le grand reportage. Fort de sa propre expérience et de celle de ses confrères missionnés aux quatre coins du globe, il nous raconte la vie et l’œuvre de ces grands témoins d’hier et d’aujourd’hui.
Le vendredi 11 avril à 20h30
Salle de Maistre – Albertville
Conférence gratuite, ouverte à tous, inscription indispensable sur : www.grandbivouac.com
(*) Olivier Weber a longtemps été correspondant de guerre. Spécialiste des mouvements de guérilla, il a couvert une vingtaine de conflits. Il a été également ambassadeur itinérant chargé de la lutte contre la criminalité organisée et la traite des êtres humains.
Contact :
Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com : 06 79 36 43 15
Fabrice Couteau, assistant de communication, fabrice@grandbivouac.com : 06 29 33 93 44
Un événement exceptionnel au Salon du Livre.
Des grands reporters et correspondants de guerre devenus écrivains se réunissent pour débattre sur le thème « LITTÉRATURE ET GRAND REPORTAGE « , avec:
Florence Aubenas, Jean Hatzfeld, Thierry Leclère, Jean-Paul Mari et Olivier Weber.
Vendredi 21 mars de 17h15 à 18h15 au
Salon du Livre, Palais des Expositions, Porte de Versailles, stand L 37
Comment raconter le monde… quand il ne cesse de changer? En un siècle, pêle-mêle, les deux guerres, la Révolution russe, la décolonisation, l’Espagne, l’Irlande, le Proche-Orient, la Guerre froide, le Vietnam, le terrorisme international aujourd’hui et bien d’autres terrains de confrontation encore : dans la lignée des grands noms du journalisme et de la littérature voyageuse – Joseph Kessel, Albert Londres, Jack London, Blaise Cendrars ou plus près de nous, Lucien Bodard – Olivier Weber, grand reporter, écrivain-voyageur et cinéaste (*), nous entraîne dans l’aventure du monde à travers le grand reportage. Fort de sa propre expérience et de celle de ses confrères missionnés aux quatre coins du globe, il nous raconte la vie et l’œuvre de ces grands témoins d’hier et d’aujourd’hui.
(*) Olivier Weber a longtemps été correspondant de guerre. Spécialiste des mouvements de guérilla, il a couvert une vingtaine de conflits. Il a été également ambassadeur de France itinérant auprès des Nations Unies.