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Solidarité avec nos amis népalais

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Solidarité avec nos amis népalais

Une proposition du Grand Bivouac

Le Népal et l’ensemble de sa population vivent aujourd’hui l’une des plus grandes catastrophes de leur histoire, dont deux d’entre nous, administrateurs du Grand Bivouac, alors en trek dans la vallée du Manaslu, ont été les témoins directs. Et avec cet esprit « citoyen du monde » qui vous anime et constitue cette belle « famille » du Grand Bivouac, vous êtes nombreux à nous demander aujourd’hui par quels moyens les plus sûrs et les plus efficaces une aide – à la fois d’urgence et à plus long terme – peut être apportée à nos amis népalais.

Aussi, après réflexion, nous vous proposons, si vous le souhaitez, d’effectuer vos dons directement à l’association SAMDO AVENIR dont la fondatrice est Catherine Joriot, une amie française installée au Népal depuis trente ans, par ailleurs responsable de l’agence Glacier Safari Trek, en laquelle nous avons toute confiance quant à la sincérité et l’efficacité de son propre engagement et de celui de son équipe au service des populations locales.

L’intervention de SAMDO AVENIR – dont l’objectif permanent est de contribuer au développement éducatif, sanitaire et économique de communautés villageoises de la vallée de la Nubri menant au Manaslu et très durement touchée aujourd’hui par le séisme – consistera, dans les semaines et les mois qui viennent, à mener deux types d’actions prioritaires : une aide d’urgence en matériel, vivres et soins aux populations de cette vallée ainsi que dans le massif de l’Helambu également très touché, et dans un deuxième temps, une aide à la renconstruction des villages.

Un contact, un geste, une action

Aussi, en vous portant dés maintenant sur le site de l’ONG – www.samdoavenir.org – vous aurez en détail l’ensemble des informations vous permettant d’effectuer vos dons qui, faut-il le préciser, ouvriront vos droits à déduction fiscale (N’oubliez pas, pour cela, parallèlement à vos dons, d’adresser un mail au destinataire pour assurer le lien avec le reçu fiscal de fin d’année).

Le choix que nous vous proposons d’une opération ciblée et spécifique peut évidemment lever des interrogations : pourquoi donner ici et pas ailleurs ? pourquoi auprès de telle organisation et pas telle autre ? Compte-tenu des difficultés à la fois inhérentes aux grandes opérations de recueil de fonds et à la situation administrative et politique locale, nous faisons le choix au Grand Bivouac d’un « circuit court » et le plus efficace possible entre votre propre geste et l’aide concrète et quasi-immédiate aux populations sur le terrain. Associée à d’autres du même type et en complémentarité des opérations plus globales, cette initiative contribuera très concrètement à l’aide que nous pouvons apporter à nos amis népalais.

Enfin, en octobre, lors de la 14ème édition du Grand Bivouac, nous consacrerons un rendez-vous important à un point d’étape de cette action, ainsi qu’à l’analyse et à la compréhension de l’évolution de la situation générale au Népal, en présence des meilleurs spécialistes et de représentants népalais.

Merci d’avance à vous toutes et tous !

Pour l’équipe du Grand Bivouac, administrateurs, salariés et bénévoles

Guy Chaumereuil, président

Pierre de Vallombreuse est l’invité de l’Université Populaire du Voyage, le 6 mai, à Albertville

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CONTACTS PRESSE

Bertrand Perret, Directeur général : 06 79 36 43 15 / bertrand@grandbivouac.com

Bérengère Dauphin, Chargée de communication : 04 79 32 48 64 / berengere@grandbivouac.com

ENRICHISSANT – La photographie comme un langage

An Eye For An Eye

Dorothée Adam, réalisatrice et Présidente de l’association An Eye For An Eye

Oliver TOURON et Benjamin Geminel sont Photojournalistes free-lance

Olivier TOURON et Benjamin Geminel sont tous les deux Photojournalistes free-lance
Photo de Malay Phcar

Olivier WEBER, écrivain et Grand-reporter; membre d'honneur de l'association An Eye For An Eye

Olivier WEBER, écrivain et Grand-reporter; membre d’honneur de l’association An Eye For An Eye
Photo de Malay PHCAR/M7France.fr

« La photographie comme un langage, vue par Olivier WEBER »
« A partir d’une photo j’en parle parce que, mon ami Malay survivant des camps de la mort au Cambodge est ici, Malay PHCAR.

Il est dans la forêt Pol Pot, il marche comme ça…vers le ciel, vers le soleil, majestueux avec son bâton. Derrière, il y a le frère n°1, n°2, n°3 Ieng Sary, Khieu Samphan, au milieu il y a un jeune garde du corps, qui a 20 ans et qui va devenir l’un des chefs khmers rouges…

On a montré la photo, c’est très compliqué au responsable khmer rouge qui est toujours en poste là, dans la forêt. Ce n’est plus un rebelle, c’est un général d’armée, grand corrompu.

Evidemment c’était la photo interdite…on a eu des menaces de mort plus que ça, mais on a bâtit tout un…deux documentaires, surtout le deuxième pour France 2, autour de cette photo interdite. C’était comment…Euh, finalement cette photo symbolisait aussi…symbolisait le régime khmer rouge, le Génocide, puis leur impunité aujourd’hui, voilà…

Cette photo pour moi elle est magique, elle est vraiment la liberté guidant le peuple dans le sang, le peuple va se faire massacré par le libérateur…

Retrouvé l’une des photographie, donc c’est la photo nous a permis de dénoncer d’autant plus les khmers rouges aujourd’hui, voilà. »

« La photographie comme un langage, vue par Olivier WEBER »

Olivier WEBER est auteur du livre « Les Impunis« , paru aux éditions de Robert Laffont; et réalisateur de documentaires RETOUR AU CAMBODGE – France 5, France 2 et VOYAGE

LES RUBIS DES KHMERS ROUGES – France 2

M7France : Liberté-Fraternité-Partagée

Olivier WEBER est un écrivain français, Grand reporter et réalisateur de documentaires; il est auteur et réalisateur de RETOUR AU CAMBODGE, documentaire pour les chaînes
France 5, VOYAGE et France 2
LES RUBIS DES KHMERS ROUGES – Documentaire France 2
Olivier WEBER est auteur du livre « Les Impunis », édition Robert Laffont

Jean-Claude Coutausse Photojournaliste, Photographe pour le Monde

Jean-Claude Coutausse Photojournaliste, Photographe pour le Monde

ENRICHISSANT – Hier soir au Café Monde et Médias, Place de la République

Soirée-rencontre – « La photographie comme un langage » http://www.aneyeforaneye.org/

Ils sont écrivains, Grand Reporter, Photojournaliste, Réalisateurs…Ils  sont venus parler de leurs professions, et ils apportent leurs soutiens à l’association An Eye For An Eye – AEFAE

L’association AN EYE FOR AN EYE crée des correspondances photographiques pérennes entre des groupes d’enfants en situation économique, sociale, ou psychologique difficile à travers le monde. La photographie, enseignée comme un langage, leur donne la possibilité de communiquer les uns avec les autres, bien que ne parlant pas la même langue et ne pouvant pas se rencontrer physiquement.

Les enfants sont considérés comme des auteurs. Ils apprennent les techniques de base en photographie, et chaque groupe est parrainé par un photographe professionnel. Les photos prises au cours des ateliers sont le fruit d’une intention exprimée par les enfants photographes dans une démarche de partage avec leurs correspondants. Les enfants travaillent avec un cadre en carton afin de réfléchir à ce qu’ils souhaitent montrer avant de prendre une photo.
Les adultes ne sont que des facilitateurs. Les enfants légendent eux-mêmes leurs photos et les présentent au public lors d’expositions.

L’acceptation de la diversité culturelle est un des grands enjeux du monde actuel. Elle est un des facteurs essentiels de la lutte contre la pauvreté et contre les exclusions, et, plus largement, l’une des conditions pour que s’établissent entre les hommes des rapports sains et mutuellement enrichissants.

Permettre à des enfants d’entrer en contact avec des enfants d’un autre monde que le leur, c’est leur donner le moyen de « sentir » puis de connaître et de comprendre leur propre environnement social et culturel.

Utilisant la photographie comme outil de narration et de communication, le projet AN EYE FOR AN EYE vise à favoriser l’accès à la culture, l’égalité des chances, et à créer du lien social entre enfants de cultures différentes, y compris au sein d’un même territoire. À terme, c’est leur donner le moyen de communiquer et d’échanger avec « l’Autre » par- delà les appartenances.

 

Guy Chaumereuil, personnalité de l’Année 2014 pour l’Association des Journalistes du Tourisme (AJT)

Guy Chaumereuil, personnalité de l’Année 2014 pour l’Association des Journalistes du Tourisme (AJT)

Prix 14 laureats Robert 4Par le biais de son président, c’est  l’Association du Grand Bivouac d’Albertville, festival du voyage et des découvertes partagées, qui est récompensée pour ses nouvelles initiatives, la Villa Marco Polo qui vise à accompagner les projets de jeunes voyageurs « désireux de raconter le monde » et l’Université populaire du Voyage.

Destiné chaque année  à récompenser  un professionnel du tourisme « pour son action, sa passion, son humanisme (…) et ce qu’il a pu apporter à la sphère touristique », le Prix de la Personnalité de l’année 2014 de l’Association des Journalistes du Tourisme (AJT) a été décerné ce vendredi  5 décembre, à Paris, à Guy Chaumereuil, président de l’association du Grand Bivouac d’Albertville, festival du voyage et des découvertes partagées, pour la création récente de la Villa Marco Polo et l’Université populaire du Voyage.

Lancée en 2014 dans la foulée du festival, la Villa Marco Polo se propose d’accompagner désormais des promotions de jeunes voyageurs « qui ont pour projet de raconter le monde à un large public », à travers des supports aussi divers que le livre, le carnet numérique, le son ou la vidéo. Cette aide se traduit tout particulièrement par l’attribution à chaque jeune résident (e) d’un parrain ou d’une marraine professionnel (le) et l’organisation à Albertville de trois cycles annuels d’ateliers comportant aussi bien une sensibilisation à l’anthropologie qu’à la conduite de projet ou aux techniques audiovisuelles et numériques. L’Université populaire du Voyage, quant à elle, est un cycle de conférences organisées « sur des thèmes de réflexion sociétaux ou géopolitiques, que la pratique du voyage et la rencontre avec l’autre sont en mesure d’alimenter ».

A l’occasion de la remise du trophée, Guy Chaumereuil a tenu à remercier chaleureusement l’AJT – il a lui-même été journaliste « pendant trente ans ! » – et à rappeler combien cette triple aventure – le Grand Bivouac (*), la Villa Marco Polo et l’Université du Voyage – sont le fruit « d’une action enthousiaste et collective de l’association et du Comité de pilotage de la Villa, avec le soutien étroit de la Ville d’Albertville, du Département de la Savoie et du Conseil Régional Rhône-Alpes ». Par ailleurs président du Parc National de la Vanoise, de la Grande Traversée des Alpes et de l’association chambérienne Montanéa – plateforme nationale de rencontre entre les professionnels de la montagne et d’échange avec le grand public – il a insisté sur « un dynamisme alpin qui ne se dément pas en matière touristique : le Parc de la Vanoise s’engage aujourd’hui dans une véritable stratégie d’appui aux communes pour un développement économique durable et la Grande Traversée des Alpes s’apprête à fédérer, sous l’égide du Comité de Massif, les énergies de tous les acteurs touristiques alpins autour d’un Contrat de destination « Voyage dans les Alpes » qui vient d’être accordé par le Ministère des Affaires Etrangères et du Développement International et les deux Secrétariats d’Etat  au Commerce extérieur, à la Promotion du tourisme et aux Français de l’étranger ainsi qu’ au Commerce, à l’Artisanat, à la Consommation et à l’Économie sociale et solidaire ».

La 14ème édition du Grand Bivouac aura lieu du 16 au 18 octobre 2015

(*) Chaque année en octobre, le Grand Bivouac, crée en 2002, enregistre à Albertville une fréquentation de plus de 30.000 entrées en 3 jours, autour de 110 rendez-vous proposés.

Contact Presse :

Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Projections de Retour au Cambodge, et La Fièvre de l’Or au cinéma de l’Eden

Olivier Wber, réalisateur de Retour au Cambodge; et La Fièvre de l'Or

Projections de Retour au Cambodge, et La Fièvre de l’Or au cinéma de l’Eden le 14 novembre 2014

Films – On projette RETOUR AU CAMBODGE à l’Eden, le fameux cinéma des frères Lumière à La Ciotat, près de Marseille. C’est aussi le plus vieux cinéma au monde.
Le vendredi 14 novembre à 14 h 30

Retour au Cambodge
un film documentaire d’Olivier Weber et Bernard Crouzet,
écrit par Olivier Weber et Malay Phcar
2005 52′ – avec la participation de France 5, Voyage, France 2 et le soutien du CNC
Après vingt-cinq ans dabsence, Malay, un jeune Cambodgien qui a survécu enfant aux camps de la mort des Kmers rouges, revient dans son pays.
Il a décidé de suivre l’écrivain Olivier Weber, qui tourne un documentaire sur le Cambodge. Tous deux saventurent dans les maquis des héritiers de Pol Pot. Les Khmers rouges, dans leurs fiefs montagneux, demeurent impunis…

A 20h 30
La FIEVRE DE L’OR de Olivier Weber

Soirée spéciale Ecrivain-voyageur dans le plus vieux cinéma du monde, l’Eden des frères LumièreProjection du film La Fièvre de l’Or , Prix Terra Festival, Trophée de l’Aventure, Top Ten des meilleurs films sur l’environnement.

« Edifiant! » Studio
« Remarquable » Ciné Live
« Passionnant! » Le Figaro
« Un témoignage accablant » Le Nouvel Obs
« L’un des pires théâtres de la mondialisation » Figaroscope
« Un documentaire édifiant » Le Figaro Magazine«
«Le cycle infernal de l’or » Libération
« Un désastre humain et écologique » Challenges
« La soif de l’or dans une jungle sans lois » Le Monde
« Le mythe de la ruée vers l’or a du plomb dans l’aile » Le Point
« Le cycle du lingot avec son lot d’endettés, de prostituées, de trafiquants« Première
« Le film rappelle Blood Diamond et Le Cauchemar de Darwin » Zéro de conduite
Olivier Weber dédicacera plusieurs de ses ouvrages…

Contact :04 42 83 89 05 – 06 88 02 24 67

La FIEVRE DE L’OR

Synopsis et détails

L’Amazonie est au coeur d’une nouvelle ruée vers l’or. Pour cette course vers les pépites et les paillettes jaunes, les hommes et les femmes s’enchaînent. Et détruisent l’un des derniers paradis, le poumon de la planète, la plus vaste forêt tropicale du monde, où tout se paie désormais en or.
Un cycle du lingot s’est ainsi constitué, avec son lot d’endettés, de prostituées, de parrains, de trafiquants, que ce soit en Guyane française, au Brésil ou au Surinam. L’or a amené les maladies, le mercure, les crimes, l’alcoolisme, et a transformé les criques et les fleuves en poubelles.
Ce cycle est celui de la destruction de l’homme par l’homme. 300 tonnes d’or sortent chaque année de la forêt et 120 tonnes de mercure y entrent. Un échange inégal, trésors contre poison. Avec en toile de fond de cette catastrophe écologique le trafic d’êtres humains, d’armes et de drogues.
Au coeur de cette jungle sans frontières, le drame des Amérindiens Wayanas, côté Guyane française, pollués par le mercure nécessaire à l’or et voués à une disparition prochaine. Déjà, on constate des malformations chez les enfants, des séquelles neurologiques et des cancers chez les plus âgés. Avec le scandale du mercure, on assiste à un nouveau massacre des Indiens.
Au coeur des ténèbres, le nouvel Eldorado est ainsi devenu l’un des pires théâtres de la mondialisation.

 

Voyage – découverte : Une jeune Francilienne lauréate des Premiers Pas de l’Aventure 2014

 Voyage – découverte
Une jeune Francilienne lauréate des Premiers Pas de l’Aventure 2014

IMG 8695 CopierCamille Szklorz, 29 ans, a été récompensée ce week-end, lors de la 13ème édition du Grand Bivouac à Albertville,  pour son « Cyberconte à l’Africaine ». Ou comment on se raccroche à la Toile…avec des bouts de ficelle.

Et si les  « nouvelles technologies de l’information et de la communication », les si fameuses NTIC, étaient d’abord, dans une bonne partie du monde, une affaire de…bidouille ? A Dakar, on fabrique une imprimante 3D avec des matériaux de récupération de la grande décharge. En Mauritanie, c’est par le téléphone qu’on s’échange et commercialise les données, photos, vidéos. Et  en Guinée, c’est en construisant des centaines de petites cabanes publiques pourvues d’un groupe électrogène qu’on permet à la population de recharger son mobile : en parcourant l’Afrique du Maroc à la Côte d’Ivoire pour comprendre comment on se débrouille avec la modernité…quand on n’y est pas vraiment convié,  Camille Szklorz a sans doute réalisé l’un des voyages de découverte les plus étonnants de ces dernières années.  Présenté le week-end dernier et pour la première fois au public lors de la 13ème édition du Grand Bivouac d’Albertville (*), son récit, « Cyberconte à l’Africaine », – vidéo, diaporama, dessins et commentaires mêlés – a reçu à l’unanimité le Prix des Premiers Pas de l’Aventure décerné, à l’occasion du festival, par un jury présidé par la réalisatrice Véronique Lapied.

« J’ai toujours été fasciné par la capacité de tout un chacun de créer à partir de rien, de la débrouille, de pratiques alternatives » raconte la jeune diplômée des Beaux Arts de Valence. A 18 ans, elle part pour l’Ecosse, l’Italie, « avec presque rien en poche ». Puis, c’est l’Afrique qui l’attire. D’octobre 2012 à septembre 2013, elle la parcourt, du Maroc à la Côte d’Ivoire. Onze mois de périple à vélo, « parce que dans un monde où tout va très vite, c’est un mode de déplacement lent, qui permet de mieux comprendre les territoires et les gens ». Elle en tire le portrait d’une Afrique inventive et accueillante, loin des caricatures ou des peurs d’aujourd’hui. Sur les dangers supposés d’un tel périple, elle témoigne : « Au final, à part une paire de chaussettes volée au Maroc, pas de casse à déclarer. Le plus dur aura été indéniablement de traverser la France : la solitude pesante, les tentatives de vol en bivouac et des villages désertés, à l’inverse d’un Sahel désertique mais habité… ». Elle dit aussi : « l’Afrique a été pour moi l’illustration même du respect de l’autre, une belle leçon de vie ».

Dans les semaines à venir, de son camp de base de Bagnolet (Seine Saint-Denis), Camille va maintenant s’attacher à « finaliser » son récit, peut-être même à travers une version éditoriale. Puis elle repartira. Le 6 novembre prochain, elle aura tout juste 29 ans.

Dossier de presse : à visionner ici

Contact Presse :

Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Le Grand Bivouac progresse encore…

Le Grand Bivouac progresse encore…

photo-fin-GB2014-Dans un contexte géopolitique et une actualité peu favorables au désir de voyage et à la découverte du monde, le Grand Bivouac d’Albertville vient d’enregistrer, le week-end dernier, son record d’audience en treize éditions avec plus de 30.000 entrées.

31 500 entrées exactement en trois jours (*) : ne dites surtout pas aux organisateurs du Grand Bivouac, festival du voyage et des découvertes partagées – dont la 13ème édition se déroulait du 16 au 19 octobre à Albertville (Savoie) – que ce succès-record est dû à une envie encore plus pressante, pour nos concitoyens, de « s’évader, en oubliant la réalité »… ils le prendraient peut-être mal ! Pour Guy Chaumereuil, son président, « il s’agit bien au contraire de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, mais de manière plus apaisée, plus réfléchie, plus concrète aussi : quand, au travers des témoignages recueillis au festival – récits, films documentaires, livres, conférences, débats – des femmes et des hommes de tous horizons et de tous pays nous montrent à quel point ils se battent et restent debout dans un environnement souvent bien plus complexe et difficile que le nôtre, c’est avec de l’énergie et de la confiance renouvelées que notre public repart du festival. C’est, en tout cas, ce qu’il nous confie : ici, on relève la tête, on ne l’enfonce pas dans le sable… ».

De fait, plusieurs grands moment ont émaillé ces trois journées riches de plus de 110 rendez-vous au total, dont deux standing ovation de plusieurs minutes dans des salles pleines à craquer pour Marc de la Ménardière et Nathanaël Coste (« En quête de sens ») ou Armand Diangienda, chef de l’Orchestre Symphonique de Kinshasa (« Kinshasa Symphony »). Et si le Salon du voyage aventure et ses exposants ont dû faire face aux hésitations des clients devant une actualité particulièrement sombre – assassinats d’otages, pays déconseillés, accidents d’avion, épidémie, mais aussi avalanches meurtrières au Népal – le public a plébiscité la lecture, avec une excellente tenue du Salon du Livre. « Mais nous travaillons déjà à de nouveaux projets pour 2015, précisent aussitôt les organisateurs. Les agences françaises de voyage-découverte sont animées par de vrais professionnels, aguerris, parfaits connaisseurs de l’état du monde et grands voyageurs eux-mêmes. Nous avons confiance en eux et nous sommes à leurs côtés pour rassurer et fidéliser notre public et leur clientèle ».

La 14ème édition du Grand Bivouac aura lieu du 16 au 18 octobre 2015

(*) Le précédent record de fréquentation était de 30.000 entrées en 2011.

Dossier de presse : à visionner ici

Contact Presse :

Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Les Français pessimistes ?

LE GRAND BIVOUAC – Du 17 au 19 octobre 2014 – ALBERTVILLE (SAVOIE)

Les Français pessimistes ?

Le Grand Bivouac les invite « à ouvrir les yeux et rester debout »

Les dernières observations de l’Insee sur la consommation des ménages enfoncent le clou. La France va mal. En réaction, les organisateurs du Grand Bivouac, festival du voyage et des découvertes partagées, invitent
« tous les Français qui ont le moral à zéro »… à les rejoindre pour leur 13ème édition du 16 au 20 octobre prochains à Albertville !

guy-chaumereuil-vi« C’est tout de même à peine croyable ! Nous ne renions évidemment rien des difficultés économiques et sociales auxquels nos compatriotes, nous-mêmes y compris, doivent faire face, ni de la tension extrême, voire des horreurs parfois dans lesquelles le monde se débat aujourd’hui.  Mais ce moral au plus bas, non, nous ne le comprenons pas, nous ne l’admettons pas ! ». En invitant aujourd’hui « tous les Français qui ont le moral à zéro » à les  rejoindre pour leur 13ème édition, les organisateurs du Grand Bivouac, se tromperaient-ils de tribune ? « Pas du tout ! s’étonne Guy Chaumereuil, l’un de ses fondateurs. A l’occasion de ce festival, nous donnons à voir, à travers les témoignages des grands voyageurs, des femmes et des hommes, semblables à nous, souvent dans des situations personnelles et collectives encore plus difficiles, qui restent debout et se battent, jour après jour, tout autour de la planète, pour vivre dignement et garder espoir : qu’ils soient musicien amateur de l’Orchestre Symphonique de Kinshasa, jeune femme des montagnes aux confins de l’Azerbaïdjan, étudiantes iraniennes,  petit épicier éthiopien, nomades mongoles ou paysans nicaraguayens, toutes et tous nous montrent cette détermination à ne jamais renoncer… Et c’est l’âme même du festival : ouvrir les yeux sur le monde tel qu’il est, avec ses soubresauts, ses douleurs, mais aussi sa formidable énergie, basée sur la découverte, la rencontre et le respect de l’autre… ».

Voyager, un acte fort

Le festival – qui a créé l’an dernier une Villa Marco Polo pour les jeunes voyageurs et accueille, chaque année, dans son « Village », la plupart des grands tour-opérateurs du voyage-découverte –  insiste, par ailleurs, sur la nécessité de garder à tout prix l’envie de voyager : « Personne ne niera les dangers qui peuvent guetter le voyageur aujourd’hui dans certaines régions du monde, surtout pas quelques jours à peine après la mort Hervé Goudreld’Hervé Gourdel. Et le maximum de précautions doivent être évidemment prises dans ce domaine.  Mais si voyager, aujourd’hui plus encore qu’avant, doit s’affirmer comme un acte de résistance, d’ouverture et d’espoir, alors, acceptons-le comme tel. C’est ainsi, en tout cas, que nous le défendons ».

Le Grand Bivouac : 110 rendez-vous au total sur trois jours – conférences, projections, débats, animations, expositions – et de 25 à 30.000 entrées chaque année en octobre à Albertville (Savoie)

Tout le programme du Grand Bivouac  : www.grandbivouac.com

Dossier de presse : à visionner ici

Contact Presse :

Fabrice COUTEAU, fabrice@grandbivouac.com, 06 29 33 93 44
Bruno Van Den Driessche, directeur, bruno@grandbivouac.com, 06 79 36 43 15

Un invité rare : Jean-Claude Guilbert au Grand Bivouac !

 LE GRAND BIVOUAC – Du 17 au 19 octobre 2014 – ALBERTVILLE (SAVOIE)

Un invité rare : Jean-Claude Guilbert au Grand Bivouac !

jean claud guilbert« Un chevalier… » dit de lui son ami Sylvain Tesson et ce sera incontestablement l’un des temps forts de l’édition 2014 du Grand Bivouac : la venue de Jean-Claude Guilbert, romancier, grand reporter, homme de télévision, grand voyageur, est bien sûr attendue de tous les fans d’Hugo Pratt, le créateur de Corto Maltese, dont il a été le compagnon de route, mais aussi, plus  largement, de tous les amoureux de l’aventure au sens noble du terme, toutes celles et ceux qui pensent que la vie « n’est jamais foutue » pour peu qu’on relie toujours avec la même fougue le discours au geste, la réflexion à l’action. L’auteur du livre-culte… aujourd’hui introuvable, « Ils ont tué tous les héros » (Albin Michel, 1978),  sera l’invité exceptionnel de Guy Chaumereuil, le vendredi 17 octobre à 14h30, pour un échange qui promet d’être dense sur le voyage, l’action, l’engagement, la nécessité d’ « être au monde », debout. Il sera également l’invité, le dimanche 19, à 10h30, des Littératures Voyageuses (« Hugo Pratt, voyage au cœur du labyrinthe »), avec les médiathèques et bibliothèques du territoire d’Albertville Et l’un des plus beaux « cadeaux» que Jean-Claude Guilbert puisse faire au Grand Bivouac sera cette exposition sur Hugo Pratt et Corto Maltese proposée pendant les trois jours du festival sur la base de documents extraits spécialement pour l’occasion de sa collection privée !

Le Grand Bivouac, 13ème édition, Albertville (Savoie) – Du 17 au 19 octobre 2014 –  Concert d’ouverture le 16 octobre, à 20h.30, avec Susheela Raman

Le Programme des littératures voyageuses (Médiathèques du territoire d’Albertville) : http://www.mediatheque-coral.fr/opacwebaloes/index.aspx?IdPage=623

Tout le programme du Grand Bivouac  : www.grandbivouac.com

Dossier de presse : à visionner ici

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Fabrice COUTEAU, fabrice@grandbivouac.com, 06 29 33 93 44
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In extremis : voyages sur le fil et rencontres singulières

In extremis : voyages sur le fil et rencontres singulières

« Et si nous prenions le premier train qui passe, un bus anonyme, un sentier qui intrigue, sans savoir vraiment où ils vont ? ». En invitant son public à des « voyages sur le fil et rencontres singulières », le Grand Bivouac 2014 annonce la couleur : sa 13ème édition se veut particulièrement « exigeante et inédite ».

Dome Grand BivouacMais si l’inattendu est affiché – une invitation à être surpris, questionné, parfois même dérangé – l’improvisation n’est toujours pas de mise pour le festival du voyage et des découvertes partagées : fortes personnalités des invités – Lionel Daudet, Jean-Claude Guilbert, Manon Loizeau, Stéphane Breton, Olivier Lemire… -, diversité des horizons – de la Sibérie à Cuba, du Nicaragua à l’Ethiopie, en passant par l’Azerbaïdjan, l’Iran ou le Yémen – et temps forts en émotion seront au programme d’une édition marquée, entre autres, par la présence des Terres Australes et Antarctiques Françaises. Pour accompagner les festivaliers dans ce voyage de trois jours à rebondissements – où une soirée spéciale sera consacrée à Jules Verne pour les 150 ans du « Voyage au centre de la terre », un grand témoin de marque… sous réserves, évidemment, que l’actualité ne la projette pas « in extremis » à l’autre bout de la planète : Florence Aubenas,  journaliste au Monde.

Le Grand Bivouac, 13ème édition, Albertville (Savoie) – Du 17 au 19 octobre 2014 –  Concert d’ouverture le 16 octobre, à 20h.30, avec Susheela Raman

Tout le programme  : www.grandbivouac.com – A partir du 2 septembre, billetterie en ligne (Dès le 30 août, sur place, à la Maison du Tourisme d’Albertville)